Une Second Life pour les marques ?
On dénombre aujourd’hui une cinquantaine de marques qui évoluent dans Sl, avec des fortunes diverses : retombées RP, réelles interactions avec des avatars, cibles de fronts anti-marques ou bien encore incapacité à apporter une réelle plus-value aux avatars…
J’évoquais dans un post de janvier dernier le fait que SL s’apparentait pour moi, davantage à un terrain d’expérimentation de ce que pourrait être le site de demain d’une marque.
Ainsi, et au-delà du buzz médiatique permanent autour de ce nouvel eldorado pour les marques que serait SL, d’autres entreprises réfléchissent à des stratégies virtuelles parallèles et essaient de tirer des enseignements des expérimentations menées dans SL.
Starwood Hôtels qui était l’un des premiers annonceurs à entrer dans SL pour y tester un nouveau concept d’hôtellerie, a fini par s’apercevoir que les avatars ne dormaient pas ! Et donc que leur offre d’hôtel virtuel était de peu d’intérêt.
Mais ce qui motive avant tout les marques à évoluer vers d’autres univers virtuels, pré-existants ou créé de toutes pièces, c’est la recherche de trois dimensions qui sont difficile à pérenniser dans SL, la sécurité des données, la possibilité de customisation poussée des environnements et enfin le contrôle de ce qui s’y passe. Trois dimensions importantes dans l’univers du business.
Ainsi, pour parer aux questions de sécurité, SL proposerait aujourd’hui aux entreprises désireuses de s’implanter dans SL, la possibilité d’héberger les données sur leurs propres serveurs et non plus sur ceux de Linden Lab.
Mais les marques regardent aussi ailleurs. Un article de Business Week nous apprend ainsi que MTV travaille à la création d’un environnement virtuel spécifique qui viendrait en accompagnement de séries diffusées par la chaîne.
Dans un esprit un peu différent, Disney s’est associé avec le créateur de Habbo Hôtel pour concevoir un univers virtuel qui serait une réplique de ses parcs d’attraction.
Habbo Hotel héberge aussi des événements organisés dans ses murs par des marques ou propose le parrainage de « lounges » virtuels par des marques.
Autre exemple, relaté par Contagious, que celui de WWV Nouvelle Zélande, qui s’est associé à Faketown, un monde virtuel peuplé de 75 000 résidents, jeunes et qui cherchent des environnements qui ne soient pas encore trop pollués par la pub. Au programme, des concours visant à sensibiliser sur les émissions de CO2, des possibilités de planter des arbres – virtuels – dans des jardins qui le sont tout autant, etc.
On peut donc affirmer sans trop de risques que la croissance des univers virtuels de marques ont de beaux jours devant eux, à condition de daigner s’intéresser à ce qui motive des individus à se créer des avatars. A quand les groupes conso d’avatars ?
J’évoquais dans un post de janvier dernier le fait que SL s’apparentait pour moi, davantage à un terrain d’expérimentation de ce que pourrait être le site de demain d’une marque.
Ainsi, et au-delà du buzz médiatique permanent autour de ce nouvel eldorado pour les marques que serait SL, d’autres entreprises réfléchissent à des stratégies virtuelles parallèles et essaient de tirer des enseignements des expérimentations menées dans SL.
Starwood Hôtels qui était l’un des premiers annonceurs à entrer dans SL pour y tester un nouveau concept d’hôtellerie, a fini par s’apercevoir que les avatars ne dormaient pas ! Et donc que leur offre d’hôtel virtuel était de peu d’intérêt.
Mais ce qui motive avant tout les marques à évoluer vers d’autres univers virtuels, pré-existants ou créé de toutes pièces, c’est la recherche de trois dimensions qui sont difficile à pérenniser dans SL, la sécurité des données, la possibilité de customisation poussée des environnements et enfin le contrôle de ce qui s’y passe. Trois dimensions importantes dans l’univers du business.
Ainsi, pour parer aux questions de sécurité, SL proposerait aujourd’hui aux entreprises désireuses de s’implanter dans SL, la possibilité d’héberger les données sur leurs propres serveurs et non plus sur ceux de Linden Lab.
Mais les marques regardent aussi ailleurs. Un article de Business Week nous apprend ainsi que MTV travaille à la création d’un environnement virtuel spécifique qui viendrait en accompagnement de séries diffusées par la chaîne.
Dans un esprit un peu différent, Disney s’est associé avec le créateur de Habbo Hôtel pour concevoir un univers virtuel qui serait une réplique de ses parcs d’attraction.
Habbo Hotel héberge aussi des événements organisés dans ses murs par des marques ou propose le parrainage de « lounges » virtuels par des marques.
Autre exemple, relaté par Contagious, que celui de WWV Nouvelle Zélande, qui s’est associé à Faketown, un monde virtuel peuplé de 75 000 résidents, jeunes et qui cherchent des environnements qui ne soient pas encore trop pollués par la pub. Au programme, des concours visant à sensibiliser sur les émissions de CO2, des possibilités de planter des arbres – virtuels – dans des jardins qui le sont tout autant, etc.
On peut donc affirmer sans trop de risques que la croissance des univers virtuels de marques ont de beaux jours devant eux, à condition de daigner s’intéresser à ce qui motive des individus à se créer des avatars. A quand les groupes conso d’avatars ?
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