Microbe Attack !
Le Parisien d’hier contenait un papier sur la sortie d’un bouquin, intitulé On s’en lave les mains.
Rédigé par un médecin, l’ouvrage revient sur tous les nids à microbes que l’on rencontre au quotidien, dans le métro, en serrant la main d’une personne, dans des toilettes publiques ou privées, au téléphone, dans le métro…Allo Mickaël, file moi ton caisson !
On savait déjà que les éviers n’étaient pas toujours plus propres que les chiottes en termes de présence de germes. Et que le phénomène s’étend aux bureaux où le sandwich du midi devant l’écran transforme le clavier d’ordi en ferme d’élevage microbien…
Des petits germes qui se transforment parfois en maladies, et pour lesquelles les antibiotiques ne sont plus aussi efficaces qu’avant, faute d’en avoir fait une utilisation intensive et inappropriée pendant des années, voire des décennies.
Au final, quelques règles élémentaires permettraient de se prémunir plus efficacement contre ces petits tracas.
Alors forcément le sujet devient une question de santé publique et entraîne son lot de recommandations. Filons au Canada pour y voir deux approches préventives radicalement différentes dans la forme, et qui témoignent du fait que ce n’est pas toujours la pédagogie froide et rationnelle qui est la plus efficace.
Le Ministère Canadien de la Santé offre en ligne une page intitulée « Se laver les mains…un geste important pour la santé ». C’est plein de conseils, sobre et ennuyeux comme peut l’être toute campagne de prévention qui reste dans une optique rationnelle : expliquons les risques aux gens et les moyens de s’en prémunir et Asta la Vista Baby ! Une approche qui est rarement d’une efficacité redoutable, puisque comme chacun sait, tout le monde se lave les mains ! (c’est un peu comme la voiture, tout le monde roule prudemment sauf le voisin…).
Maintenant, voici une deuxième approche, en ligne et qui joue la carte de l’humour.
Six petits films humoristiques pointent du doigt les différentes attitudes qui se cachent derrière le fait de « se laver les mains ». Du coup, on comprend qu’il y a lavage et lavage de main.
Voilà deux types de communication de prévention, fondamentalement différents, et dont à mon sens, la deuxième est nettement plus efficace. On peut aussi aller voir ce site, américain, qui est à mi-chemin entre les deux approches précédentes.
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Rédigé par un médecin, l’ouvrage revient sur tous les nids à microbes que l’on rencontre au quotidien, dans le métro, en serrant la main d’une personne, dans des toilettes publiques ou privées, au téléphone, dans le métro…Allo Mickaël, file moi ton caisson !
On savait déjà que les éviers n’étaient pas toujours plus propres que les chiottes en termes de présence de germes. Et que le phénomène s’étend aux bureaux où le sandwich du midi devant l’écran transforme le clavier d’ordi en ferme d’élevage microbien…
Des petits germes qui se transforment parfois en maladies, et pour lesquelles les antibiotiques ne sont plus aussi efficaces qu’avant, faute d’en avoir fait une utilisation intensive et inappropriée pendant des années, voire des décennies.
Au final, quelques règles élémentaires permettraient de se prémunir plus efficacement contre ces petits tracas.
Alors forcément le sujet devient une question de santé publique et entraîne son lot de recommandations. Filons au Canada pour y voir deux approches préventives radicalement différentes dans la forme, et qui témoignent du fait que ce n’est pas toujours la pédagogie froide et rationnelle qui est la plus efficace.
Le Ministère Canadien de la Santé offre en ligne une page intitulée « Se laver les mains…un geste important pour la santé ». C’est plein de conseils, sobre et ennuyeux comme peut l’être toute campagne de prévention qui reste dans une optique rationnelle : expliquons les risques aux gens et les moyens de s’en prémunir et Asta la Vista Baby ! Une approche qui est rarement d’une efficacité redoutable, puisque comme chacun sait, tout le monde se lave les mains ! (c’est un peu comme la voiture, tout le monde roule prudemment sauf le voisin…).
Maintenant, voici une deuxième approche, en ligne et qui joue la carte de l’humour.
Six petits films humoristiques pointent du doigt les différentes attitudes qui se cachent derrière le fait de « se laver les mains ». Du coup, on comprend qu’il y a lavage et lavage de main.
Voilà deux types de communication de prévention, fondamentalement différents, et dont à mon sens, la deuxième est nettement plus efficace. On peut aussi aller voir ce site, américain, qui est à mi-chemin entre les deux approches précédentes.
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2 commentaires:
y a aussi cette video qui est sympa:
http://jdumetz.free.fr/en/2006/02/kissing-transmit-less-germs-than.html
faut se laver les mains et lorsque l'on ne peut pas utiliser des gels alcooliques.
Bonne journée
Joseph
la video signalée par Joseph est du feu de Dieu !
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