T'as pas un rein ?
Donner. Difficile de donner en temps de crise, me direz-vous.
Et d'ailleurs les études l'attestent, du moins au Québec, et il n'y a pas de raison que les Français soient plus généreux que les Québécois.
Mais le don ne se réduit pas à des espèces trébuchantes ou du temps accordé bénévolement.
Non, le don peut venir de soi, du plus profond de soi, de soi-même.
C'est alors le don d'une partie de soi, qu'on soit encore soi-même ou déjà refroidi, qui permet à l'autre, à celui qui est dans le besoin, dans l'attente, dans l'urgence, d'espérer à son tour.
Espérer recevoir ce qui n'est pas ou plus vital pour l'autre, mais le devient pour soi.
Donner de soi pour que l'autre puisse redevenir ce qu'il était, un être humain, comme vous et moi.
Le 17 octobre, c'est la journée mondiale du don d'organes.
Alors, parlez-en.
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