Dim Dave Dove
Tout le monde ou presque a donné son avis sur la nouvelle campagne de Dove, Onslaught, lancée en ligne depuis le 1er octobre.
Je vous ferais donc grâce de mon avis sur le sujet, si ce n’est qu’il est moins enthousiaste (davantage sur le fond que sur la forme) que mon point de vue sur la précédente campagne, Evolution.
Par contre, je suis tombé sur un papier intéressant sur le blog de Pete Blackshaw, patron américain de CMO Nielsen BuzzMetrics.
Lui aussi s’est penché sur le cas Dove mais pour en extraire un constat riche de questions et donc d’enseignements, qu’on peut résumer ainsi : ce ne sont pas les blogs anglais et « spécialistes » du marketing ou de la pub qui ont apporté une forte viralité à la pub Dove dans les premiers jours de diffusion. C’est au contraire les sites et blogs généralistes et de langue non anglaise.
Le constat ne repose pas sur le nombre de visionnage de la pub sur Youtube et consorts mais sur le nombre de blogs qui ont embarqué la vidéo.
A partir de là, Blackshaw pose un certain nombre de questions dont les plus pertinentes à mon avis sont :
Est-ce intentionnel ou pas ?
Le message de la vidéo est-il plus particulièrement en phase avec des consommateurs européens ?
Y’a-t-il des affinités particulières avec le mode de diffusion publicitaire « à la Youtube » ?
Le côté « antipub » du message trouve t-il davantage d’écho en Europe qu’aux US ?
Mais aussi, jusqu’à quel point faut-il cibler les blogueurs dits « influents » de façon purement thématique, sur le mode « je veux des blogueurs spécialistes de la com, ou de n’importe quel autre sujet » pour lancer un produit ou une campagne virale.
Bon, enfin voilà, y’a plus qu’à se creuser le crâne…
Je vous ferais donc grâce de mon avis sur le sujet, si ce n’est qu’il est moins enthousiaste (davantage sur le fond que sur la forme) que mon point de vue sur la précédente campagne, Evolution.
Par contre, je suis tombé sur un papier intéressant sur le blog de Pete Blackshaw, patron américain de CMO Nielsen BuzzMetrics.
Lui aussi s’est penché sur le cas Dove mais pour en extraire un constat riche de questions et donc d’enseignements, qu’on peut résumer ainsi : ce ne sont pas les blogs anglais et « spécialistes » du marketing ou de la pub qui ont apporté une forte viralité à la pub Dove dans les premiers jours de diffusion. C’est au contraire les sites et blogs généralistes et de langue non anglaise.
Le constat ne repose pas sur le nombre de visionnage de la pub sur Youtube et consorts mais sur le nombre de blogs qui ont embarqué la vidéo.
A partir de là, Blackshaw pose un certain nombre de questions dont les plus pertinentes à mon avis sont :
Est-ce intentionnel ou pas ?
Le message de la vidéo est-il plus particulièrement en phase avec des consommateurs européens ?
Y’a-t-il des affinités particulières avec le mode de diffusion publicitaire « à la Youtube » ?
Le côté « antipub » du message trouve t-il davantage d’écho en Europe qu’aux US ?
Mais aussi, jusqu’à quel point faut-il cibler les blogueurs dits « influents » de façon purement thématique, sur le mode « je veux des blogueurs spécialistes de la com, ou de n’importe quel autre sujet » pour lancer un produit ou une campagne virale.
Bon, enfin voilà, y’a plus qu’à se creuser le crâne…
1 commentaires:
Citoyenne lambda, pas dans la pub, pas dans la com : je peux affirmer que l'aspect "anti-pub" de la campagne m'a particulièrement touchée. Leurs films mettent au grand jour les mécanismes et stratagèmes attrape couillons des produits de beauté en nous rassurant : soyez belle sans être un top modèle, d'ailleurs, on vous le prouve, les top modèles eux même n'en sont pas non plus !
Bon, comme d'hab' je réponds en partie à côté de la question mais on se refait pas !
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