Nouvelles pathologies

A l'Ecole Cantonale d'Art de Lausanne, on sait rigoler tout en restant hygiénique. En témoigne ce prototype de piercing brosse à dent, proposé par Hadji Mouloudi.
Toujours dans une thématique sanitaire, les dernières nouvelles du front.
C'est la BBC qui nous l'apprend, des savants auraient trouvé la formule qui explique le "Beer goggles" effect. Il s'agit de savoir en quoi l'alcool peut influer sur la vision du buveur, au point de voir une personne plutôt laide en plutôt belle, au moins jusqu'au lendemain matin...Donc, des chercheurs de l'université de Manchester ont établi les facteurs qui concourrent à être victime de cet effet: bien évidemment la quantité d'alcool ingurgitée, mais aussi la luminosité du lieu de rencontre, la densité de fumée et bien sûr la qualité visuelle des yeux. A partir d'une savante équation, les chercheurs sont en mesure de graduer le "beer goggles" effect sur une échelle dont 100 est le maximum. Laissons la parole au spécialiste: "For example, someone with normal vision, who has consumed five pints of beer (ce qui n'est pas rien!) and views a person 1.5 metres away in a fairly smoky and poorly lit room, will score 55, which means they would suffer from a moderate beer goggle effect". Si vous arrivez à 100, c'est que vous avez l'impression d'avoir un supermodel sous les yeux. Mais attention au réveil!
On continue avec une étude en provenance des USA, qui souligne le fait que près d'un jeune américain sur 10, ou environ 2.2 millions de personnes, souffre de dépression forte et que moins de la moitié suit un traitement.
Un peu moins inquiétant, et encore, c'est le développement de pathologies liées à l'utilisation intensive de nouvelles technologies. Après le BlackBerry, c'est au tour de l'iPod d'être accusé. En effet, un usage intensif des boutons de contrôle pourrait avoir des effets néfastes sur la main et plus particulièrement le pouce. De la même façon, envoyer des sms de façon frénétique, être trop crisper sur sa console de jeux sont des usages à risque.
Et pour finir, un nouveau syndrome, le BLOTO (Buying Loads of Tat Online). Il s'agir de la propension à faire des achats inconsidérés en ligne, après avoir bu quelques verres de trop. 7% des anglais seraient frappés par le phénomène. Cette tendance a été détecté par une société d'études qui faisait une analyse des comportements d'achat en ligne...